posées devant nous,
vierges de toute action, en attente.
Trois cent soixante-six pages
à écrire avec nos faiblesses, nos forces,
à noircir de nos espoirs et désespoirs,
à remplir de la meilleure manière,
en sachant que nous faillirons ci ou là,
forcément.
Trois cent soixante-six pages
qui nous attirent autant qu'elles nous effraient.
1 commentaire:
J' ai lu vos poèmes avec attention après avoir constaté votre passage sur mon blog : octogene.overblog.com.Vous m' avez donné l' idée d' en écrire un sur le même thème de l' année écoulée mais il est trop long pour ce cadre. S'il vous intéresse je peux l' envoyer à votre adresse mail (la mienne principale est brejon251@orange.fr ). Pas obligée bien sûr. Vous pouvez lire mon profil sur mon over-blog.Je suis déjà sur votre liste de blogs.
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