En ce premier jour de printemps
je déclare la terrasse ouverte.
Je la déclare ouverte
pour le café-chocolat d'après repas,
pour des déjeuners à deux, trois ou plus,
pour des après-midi lecture,
pour des dîners à la lumière des bougies,
pour des moment sur la balancelle
à ne penser à rien, à scroller,
ou à rêver à ce qui ne sera jamais.