Je les ai toujours connus
ces arbres qui ont abrité mon enfance.
Ils ont toujours été là,
offrant leur ombre en été,
et leurs fruits précieux en automne.
Mon père a voulu sa maison là,
précisément là, et nulle part ailleurs.
Il a eu sa maison à l'ombre des noyers.
"Mein Haus ist meine Welt
immer hinaus, wem's nicht gefällt",
telle était sa devise,
accrochée dans l'entrée.
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