Dans le jardin de ma mère une cigogne claquète sans vergogne,
une oie se tient coite,
des grenouilles patouillent,
des lapins papotent,
et les oiseaux se balancent
au gré du vent.
Le jardin de ma mère
est un endroit charmant
où je ne viens pas assez souvent.
1 commentaire:
Les éphémères de l'étang ne vivent dit-on qu'un instant.
Mais dans la joie de la lumière, la courte vie des éphémères est plus heureuse que le lent, et noir, et gris cheminement de certains qui vivent trop seulettement...
A courir encore à l'aube d'une journée de printemps dans le jardin de ma mère !
Et voir les enfants de mes enfants y courser les premiers papillons...
Enregistrer un commentaire